LES RENCONTRES 2018

 

LES RENCONTRES EFFECTUEES

 

- Rencontre avec Madame Brigitte Le Gall, coordonnatrice du collectif «  Plus jamais sans ma voix »

le vendredi 14 décembre 2018 à 9h à son domicile

L'entretien a été fort cordial et constructif.

Nous lui avons remis les documents que nous avions élaborés en début d'année et communiqués à la presse sur le sujet "citoyenneté et Corps électoral".

Nous lui avons aussi fait part du soutien de la délégation UPR NC à ce collectif et à ses actions d'autant que l'UPR " union du peuple pour rétablir la démocratie " considère que rétablir la démocratie en Nouvelle-Calédonie c'est  redonner le droit de vote à tous les citoyens.

De son côté Madame le Gall nous a fait part des actions envisagées et en particulier de lister les partis politiques soutenant cette démarche en le faisant savoir à la presse , puis d'organiser des manifestations et des regroupements pour faire parler du dégel du corps électoral ( pourquoi pas l'idée d'une journée sans nous les exclus du corps électoral dans les commerces , les associations , etc..) d'entreprendre des démarches juridiques .

Nous avons échangé nos adresses mail pour communiquer et rester en contact. Quant à la page facebook du collectif, elle est la suivante : collectif « plus jamais sans ma voix ».

Nous n'avons pas pu nous empêcher de parler de notre UPR , de son président et de la nécessaire sortie de l'U.E. ainsi que de l'excellent article de ce matin sur le site UPR.FR analysant l'enfumage qu'est l'annonce de l'augmentation de 100 euros du smig par Macron.

 

                    Michel Hanocque, délégué territorial adjoint de l’UPR en Nouvelle-Calédonie

 

 

 

- Rencontre avec Tomas Mateo-Goyet, Chef du bureau de l’U.E. à Nouméa pour les P.T.O.M. du pacifique.

Mardi 27 Novembre 2018 à 11h, dans les locaux situés dans le cadre de la CPS à l’Anse Vata.

Nous (Antoine Gil, Michel Hanocque) avons été reçus par M. Tomas Mateo-Goyet à la demande d’Antoine Gil, à la suite des spots publicitaires réalisés par le gouvernement dans le cadre du festival du cinéma européen et diffusés sur tous les écrans du Cinécity pendant la quinzaine du festival. Quatre spots ont été réalisés et M. Mateo-Goyet apparaît dans l’un d’eux. Le contenu de ces spots à la gloire de l’UE nous a conduit à réagir par la réalisation d’une plaquette explicative qui a été remise aux personnes se rendant au cinéma.

La rencontre a duré plus d’une heure et s’est déroulée dans une ambiance cordiale et respectueuse.

Elle a commencé par une présentation de chacun de nous puis par un exposé de notre ressenti par rapport à l’avenir de la Nouvelle-Calédonie après la consultation référendaire du 4 novembre avant que nous n’abordions l’objet de notre visite : la remise de la plaquette d’information au président Germain distribuée à l’entrée du Cinécity aux cinéphiles.

M. Mateo-Goyet nous alors dit que, contrairement à ce que nous avons écrit, le Fonds Européen de Développement (FED) ne dépend pas du budget de l’U.E. principalement alimenté par les 4 pays contributeurs nets que sont l’Allemagne, le Royaume-Uni, La France et l’Italie. Le FED est un budget annexe alimenté par les contributions de tous les états membres suivant une clé de répartition résultant de la négociation entre les états. Tous contribuent mais plus ou moins comme vous pourrez le voir dans l’annexe N°01. La contribution de la France est de 600 à 800 M€ par an, derrière l’Allemagne.

Il nous a ensuite expliqué que 95% du budget du FED était consacré aux pays de l’ACP (Afrique sub-saharienne, Caraïbes, Pacifique) et 5% aux PTOM. Les dotations aux pays de l’ACP  sont corrélées au PIB par habitant. Moins il est élevé et plus forte est l’aide au développement. C’est pourquoi une Calédonie devenue Kanaky ne peut pas espérer de larges dotations vu l’importance de son PIB par habitant, elles seront moindres que celles que la Nouvelle-Calédonie reçoit en tant que PTOM ; c’est probablement ce que M. Goa, porte-parole du FLNKS, a dû s’entendre dire lors de sa tournée européenne auprès des instances Bruxelloises de l’U.E.

79 pays font partie de l’ACP et sont régis par les « accords de Cotonou » qui définissent une vision commune sur le plan politique, économique, social et environnemental.

Pour les pays du Pacifique la délégation de l’U.E. est basée à Suva aux îles Fidji. Son ambassadeur est Julian WILSON. Le bureau de l’U.E. à Nouméa, gestionnaire des PTOM, dépend hiérarchiquement de la délégation du pacifique. Pour les PTOM du pacifique, dans le cadre bilatéral, les projets retenus ont été :

  • Pour la Calédonie la formation et l’insertion professionnelle.
  • Pour la Polynésie le tourisme.
  • Pour Wallis et Futuna le développement numérique.

Dans le cadre régional le projet retenu est celui du développement environnemental.

 La Nouvelle-Calédonie doit bénéficier de 3,5 milliards de francs pacifiques pour la période de 2014 à 2020. N'ayant pas cette année atteint les objectifs fixés au niveau de la formation et de l’insertion professionnelle elle ne touchera que 400 millions de francs XPF  au lieu des 800 budgétisés. M. Mateo-Goyet nous a expliqué qu’il cherchait une solution pour que l’enveloppe fixée puisse être allouée dans sa totalité.

Il nous a appris d’autre part que l’U.E. était présente dans 144 pays dans le monde au travers des délégations qui ont un rôle d’ambassadrices . La délégation représente l'UE dans la région du Pacifique, en tant que membre du corps diplomatique unifié du bloc " le Service européen pour l'action extérieure" . Bénéficiant de tous les privilèges et immunités diplomatiques et d’un ambassadeur (chef de délégation), la délégation fonctionne comme une ambassade. Dans tous les domaines concernant l’UE, nous travaillons en étroite collaboration avec les missions diplomatiques des pays membres de l’UE. En effet, des questions telles que la promotion du commerce et les affaires consulaires sont traitées uniquement par ces ambassades, consulats (et parfois par les offices de tourisme) nationaux.

Avant de se séparer il nous a révélé que nous étions les premières personnes favorables au Frexit qu’il rencontrait. Il nous a demandé pourquoi nous voulions sortir de l’U.E. ce qui pour lui est affolant, car selon lui l’Europe c’est la paix et la prospérité depuis le traité de Rome. Il a poursuivi sur l’intérêt de circuler dans les différents Etats sans passeport, avec une même monnaie. Dans le même panier il a ajouté ERASMUS qui était une chance fantastique pour les jeunes. Lorsqu’il a été questionné sur l’euro et son mécanisme, il est apparu qu’il ne savait pas ce qu’était cette monnaie, pas plus qu’il ne connaissait les soldes Target.

Nous avons convenu de nous revoir en Janvier prochain pour poursuivre la discussion. Il aura d’ici là, nous a-t-il dit, analysé notre lettre ouverte au président Germain en nous livrant ses remarques et commentaires.

                                                                                           Antoine GIL,  Michel HANOCQUE

 

Rencontre avec Madame Martine Cornaille

Présidente d’EPLP (Ensemble pour la Planète)

Jeudi 19 avril 2018 au siège de l’association

 

La délégation UPR NC était composée de :Sébastien Davignon, Michel Hanocque et Bertrand Plé

 

Cette rencontre de près de 2 heures a été riche et intense par toutes les Informations que nous a fournies Madame Cornaille dans les actions qu’elle mène à la tête d’EPLP.

Si en ouverture de réunion nous avons présenté rapidement l’UPR qu’elle connaissait et notre délégation territoriale, nous avons surtout écouté Madame Cornaille sur l’agriculture, la gestion du parc naturel de la mer de Corail, la transition énergétique, la pollution , la protection de l’environnement et bien évidemment l’énorme retard qu’à la Calédonie sur tous ces sujets ainsi que le combat incessant qu’il faut mener face à des élus peu enclins à faire bouger et avancer les choses.

En ce qui concerne l’agriculture, il n’y a toujours pas de réglementation  biocide en Nouvelle-Calédonie qui soit restrictive sur les insecticides, pesticides et engrais. L’agriculture dite raisonnée est un leurre, l’agriculture biologique sans O.G.M. est à mettre en œuvre et la permaculture à développer. Y arrivera-t-on compte tenu des conflits d’intérêt  latents entre les importateurs de pesticides, d’insecticides , d’engrais et les représentants de la chambre d’agriculture ?

Pour ce qui est du Parc naturel de la mer de corail,  c’est un non-sens d’avoir créé une réserve naturelle avec activité économique puisque des bateaux de croisière de luxe tel que le Ponant vont avoir le droit d’y  séjourner et que l’activité touristique a un effet catastrophique sur l’environnement. De plus il n’y aura aucune retombée économique car il n’y a pas de populations accueillantes. On peut s’interroger sur les motivations  de l’O.N.G «  Pew » très impliquée dans la gestion de ce parc de la mer de corail. Ne permettraient-elles pas à terme une exploitation géologique et minière profonde ? Madame Cornaille note une certaine opacité dans ces O.N.G. que sont PEW et WWF.

Sur la transition énergétique et la pollution, on peut s’interroger sur :

  • la construction de 2 centrales électriques au charbon pour les usines du Sud et du Nord,
  • le choix d’une future centrale au gaz naturel qui n’est d’autre que du méthane, un gaz à effet de serre 25 fois plus puissant que le CO2. Si l’on tient compte des inévitables fuites et émissions fugitives, c’est beaucoup plus nocif pour le climat.
  • l’absence de réglementation pourque les bateaux de croisière en escale en Calédonie (que ce soit à Nouméa ou dans les îles) n’utilisent pas de Fuel lourd, l’absence de contrôle technique des pots d’échappement des véhicules « diesel ».
  • La construction d’incinérateur de déchets dangereux dans la ZAC Panda à Dumbéa.
  • et la liste n’est pas exhaustive

EPLP a besoin du soutien des citoyens. Rejoignons-les.  Abonnez-vous à leur lettre d’information, adhérez (l’adhésion « citoyen » est de 3000 cfp) sur le site eplp.asso.nc . 

Les actions et les démarches de cette association citoyenne pour la Nature et l’Homme sont en concordance avec la philosophie et la pensée de l’UPR et de notre délégation telle que François Asselineau le décrivait dans son programme présidentiel  au travers du message vidéo «  l’écologie et l’agriculture ».

 

Rencontre avec Luce Lorenzin

Présidente UFC que choisir en Nouvelle-Calédonie

Mercredi 14 Mars au siège de l’association

 

Pour la délégation UPR NC : Isabelle Brun, Antoine Gil, Michel Hanocque, Didier Hecky.

 

En ouverture de réunion d'une heure nous avons présenté l’Upr et sa délégation territoriale et fait remarquer que le carton rouge attribué aux élus calédoniens par UFC NC ne nous concernait pas.  En effet nous n’avons pas d’élus et nous sommes en phase avec le combat et les actions menés par UFC Nc pour défendre les consommateurs dans l’intérêt des populations. 

Luce Lorenzin espère beaucoup en l’autorité de la concurrence et des prix pour appuyer les actions d’UFC. Elle déplore, comme nous, des élus peu responsables qui ne veulent pas déplaire à des personnes dont ils sont dépendants. Ce fut le cas lors du refus de vote de la taxation des boissons sucrées qui sont un fléau pour la santé du pays.

Nous nous sommes trouvés en harmonie de discours pour dénoncer une logique de commerce et de consommation. On pousse les populations à vouloir un choix très large d’un même produit et non  les amener à se contenter de quelques-uns ; c’est le cas par exemple pour les yaourts mais aussi les gâteaux  secs, où il y a pléthore de produits dans les rayons, alors qu’il nous faudrait s’orienter vers l’acroissance (absence de croissance), ce qui rejoint les propos de Serge Latouche dans son livre « Renverser nos manières de penser «  mis en ligne sur notre site à la page « livres à consulter » .

Lorsque Luce Lorenzin nous a demandé ce que nous pouvions apporter à l’association UFC Nc, nous lui avons répondu : soutenir vos actions, vous apporter des informations, vous faire connaitre auprès de nos adhérents en mettant le lien de votre site en ligne sur le nôtre.

 

 

Rencontre avec Caroline Machoro

élue Union Calédonienne au Congrès

Mardi 27 Février au siège de l’U.C. au congrès

 

Les présents : Pour l’U.C. Caroline MACHORO, Jacques LALIE, Gérard Reignier.

 Pour la délégation UPR NC : Michel HANOCQUE, Bertrand PLE, Sébastien DAVIGNON, Antoine Gil

Cette rencontre de plus de 2h dans les locaux mis à disposition par le congrès pour le groupe politique « nationalistes et indépendantistes » a été des plus instructives.

En ouverture de cette réunion,  nous avons présenté l’UPR et sa délégation en Nouvelle Calédonie forte de 111 adhérents dont 107 à jour de cotisation. Nous avons  exposé les textes que nous avons rédigés pour les débats à venir sur la consultation de fin d’année et l’avenir institutionnel, à savoir :

- une Calédonie autonome dans une France redevenue souveraine, -  - un corps électoral basé sur les IMM,

 - des propositions de modifications institutionnelles pour l’après consultation.

Cette présentation a été suivie d’échanges à bâtons rompus dans lesquels les convictions des uns et des autres se sont exprimés dans une ambiance respectueuse et sereine de gens cherchant à faire connaissance.

Ci-dessous sont listés les points forts soulevés par les représentants de l'UC, ceux-ci méritent d'être médités:

Caroline MACHORO : "Le peuple premier est minorisé dans son propre pays où il ne représente plus que 40% de la population. Il subit et ne contrôle rien. Il se fait piller. C’est pourquoi nous voulons récupérer notre souveraineté et ne plus être considéré comme des enfants par la France"

Jacques LALIE : "Nous sommes contre l’immigration et la colonisation de peuplement. Et nous ne voulons pas d’une décolonisation à l’africaine".

Gérard REIGNIER : "Le corps électoral restreint est une mesure protectionniste et non une mesure d’exclusion. Si nous redevenons souverain le corps électoral changera et nous reconnaîtrons la double nationalité".

Ce dernier point est très important car il révèle une ouverture et une prise de conscience sur le fait que le peuple calédonien est multiple.

Autres points abordés :

L’action des « lobbyistes » dans les couloirs du congrès sur les boissons sucrées, les produits pharmaceutiques et l’obligation des 11 vaccins mais aussi la non autosuffisance de notre agriculture, le coût pour la France de son appartenance à l’U.E., et les bienfaits que retirerait la Nouvelle-Calédonie d’une France sortie de l’U.E..

Nous nous sommes trouvés un point commun, celui que nos 2 partis sont souverainistes (La Souveraineté est le fait pour un pouvoir politique de n'être soumis au contrôle ni d'un autre Etat, ni d'un autre organisme. Le Souverainisme est le mouvement qui rejette tout ce qui menace la souveraineté du peuple sur les affaires de l'Etat.) l’UPR pour la France, l’U.C. pour la Kanaky

 

Rencontre avec Thierry BLAISOT

Référent territorial de l’association ANTICOR.

Mercredi 21 février 2018 à la brasserie du bout du monde

 

 Cette rencontre, de plus de 2 heures, a été  très instructive et des plus intéressantes.  D’emblée, nous lui avons présenté la délégation UPR NC et ensuite nous l’avons écouté nous parler de l’association ANTICOR et de son rôle tant au plan national que local. Au cours de cette rencontre, nous avons pu constater que nous avions beaucoup de points de convergence.

Qu’est donc l’association ANTICOR ?

Cette association a été créée par le juge ALPHEN et a comme président actuel Jean-Cristophe PICARD, Eric ALT comme vice-président, magistrat en activité et Philippe PASCOT comme membre pertinent, auteur du livre «Pilleurs d’Etat » et intervenant à l’Université d’automne de l’UPR. 

Cette association décerne annuellement un prix «  casserole », les premiers lauréats ont été Charles PASQUA, Thierry BALKANY, Gaston FLOSSE, et un prix « éthique » dont les premiers lauréats ont été les frères BOCQUET, élus communistes du Nord.

Le rapprochement des associations « International Transparency » et « Sherpa » a permis la création de la Haute Autorité à la Transparence de la Vie Publique (HATVP.fr) dont ANTICOR est membre et par son influence a permis d’obtenir la déclaration de patrimoine et d’intérêts pour les élus.

Sur le plan local, dans la cadre des élections législatives, seulement 7 candidats sur les 21 ont accepté de signer la charte éthique d’ANTICOR, affligeant !...

Le prix « casserole » a été attribué à un candidat hors catégorie : Harold MARTIN, loin devant Pierre FROGIER, Eric GAY, Georges NATUREL. Le prix « éthique » a été attribué à Martine CORNAILLE, la présidente d’EPLP.

Le groupe ANTICOR dénonce le système vicieux et le système de financement des projets calédoniens, souvent entachés d’irrégularités, avec des élus qui ont la fâcheuse tendance de s’agenouiller devant les multinationales. D’où la nécessité de créer une association qui défendent les intérêts des citoyens face au détournement de l’argent public. Ce qui fût fait avec la mise sur pied de l’Association de Défense des Usagers des Services d’Intérêts Publics.

Par la consultation des rapports de la chambre territoriale des comptes et une étude approfondie de ceux-ci, le groupe local ANTICOR révèle au grand jour toutes sortes de pratiques irrégulières et peu conformes avec l’éthique et la morale en politique.

Le groupe ANTICOR local a une page facebook : anticorgroupelocal988.

 

Compte-rendu de la rencontre avec Mr Edouard Leoni

Président de l’ANC (Association Nouvelle-Calédonie)

du Jeudi 4 décembre 2017 au siège de l’association

en présence de Bertrand Albenque, trésorier de l’UPR NC

et de jean-philippe Fumigacci, adhérent Upr NC et de Michel Hanocque délégué territorial UPR Nc

 

L’Anc dont le site internet est association-nouvelle-caledonie.nc et le bureau situé à l’entrée de la presqu’île de Nouville, est une association de type loi de 1901, créée en début d’année 2017. Elle compte à ce jour 150 membres à jour de leur cotisation (1500cfp).

Elle a lancé une pétition pour l’identité calédonienne ouverte à tous les résidents de nationalité française. Cette pétition a déjà reçu plus de 1000 signatures. L’Anc a pour objectif d’en obtenir 5000 et d’aller la déposer à l’ONU.

D’autre part l’ANC a été reçu par Rémy Bastide, conseiller du premier ministre lors de la visite de ce dernier début décembre.

Pour l’ANC est calédonien : celui de nationalité française qui vit au Pays avec sa famille, qui y est installé de 1853 jusqu’à nos jours et pas seulement jusqu’en 1998. C’est ainsi qu’elle définit l’identité calédonienne ouverte à tous ceux qui vivent en Calédonie sans exclusive d’ethnies ou d’origine de peuplement. Par contre Mr Leoni n’a pas su définir la notion de « personnes intéressées » telles que citée par l’article 77 de la constitution française.

L’ANC souhaite un renouvellement du personnel politique local pour une meilleure gestion du Pays. Ce n’est pas pour cela qu’elle deviendra un mouvement politique