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LETTRE D'INFORMATION N° 2

Lettre d’Information N°2 de l’UPR NC – 30 novembre 2017

 

  • La quinzaine du Cinéma européen

…Elle a permis aux cinéphiles de découvrir d’excellents films de réalisateurs européens. A la sortie de la salle un grand panneau les informait que « l’Union Européenne et la Nouvelle-Calédonie, c’est plus de 50 ans de coopération ».
Ou comment formater et endoctriner les gens aux bienfaits de l’U.E. d’une manière perverse et indirecte en omettant de leur dire que les subsides européens c’est l’argent de la France et des Français, que cette affaire coûte 9 milliards d’euros à la France et qu’une France sortie de l’U.E. pourrait beaucoup mieux aider la Calédonie que ne le fait l’U.E.

 

  • Monsieur Germain fait la promotion de la Calédonie à Bruxelles 

      https://www.facebook.com/Lemagdugouv/videos/1342085842585954/
 
Il oublie lui aussi comme Mr Ponga de dire que tout ceci n’est du qu’à l’argent de la France et des Français. Qu’en sera-t-il si un jour la Nouvelle Calédonie accède à la pleine souveraineté ?
 
·         Le Parti travailliste menace de boycotter le référendum
 « Le référendum, ou il est sincère et on y va, ou il n’est pas sincère et on n’y va pas. » En concluant ainsi le discours d’ouverture du 8e congrès du Parti travailliste (PT), samedi, son président Louis Kotra Uregei donne le ton. Le référendum de 2018 et la problématique du corps électoral sont au coeur des deux jours de travail pour les 100 à 150 militants réunis à la Vallée- du-Tir. La présence des « invités du Rin » (Rassemblement indépendantiste et nationaliste) ne fait que le confirmer. Jacques Wabete a fait référence à Eloi Machoro qui « il y a 33 ans, jour pour jour, fracassait l’urne à Canala ». Une façon d’annoncer que les militants allaient avoir à « réfléchir et sortir avec des orientations claires et nettes, comme il y a 33 ans ».
Les militants devaient surtout décider si le parti allait participer ou boycotter le référendum. Le problème se pose de façon criante, cette fois-ci, car le récent Comité des signataires à Paris a dénoué la question des listes électorales spéciales d’une manière qui ne satisfait pas le PT. Et Louis Kotra Uregei ne mâchait pas ses mots, samedi, à l’égard des autres représentants indépendantistes ayant participé au comité : « Est-ce qu’on a le droit, en tant que représentant politique indépendantiste, de confisquer le droit à l’autodétermination ? (...) Il n’y en a pas un qui a le droit. Ce droit-là appartient à chaque Kanak ! » Pour le président du PT, le FLNKS ne fait que céder face aux loyalistes. « Il a fait ce qu’il fallait pendant la lutte, mais celui de la cohabitation, de la négociation, c’est autre chose. » Selon le décompte effectué par le Rin, 12 000 Kanak manquent à l’appel dans la solution trouvée, avec l’inscription systématique des natifs. Samedi, les militants devaient donc travailler en ateliers pour préparer diverses motions, la principale étant celle concernant l’attitude du parti à l’égard du référendum d’autodétermination. « Je suis président, un cerf-volant qu’on voit dans le ciel, mais c’est vous qui tenez le fil. C’est vous qui avez la force et si vous lâchez il s’envole », a lancé celui qui est pourtant depuis toujours l’homme fort du pendant politique de l’USTKE. Finalement, les militants ont décidé de ne pas se prononcer tout de suite, laissant planer la menace d’un boycott.

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Le Sénat coutumier craint un retour aux affrontements
 Le Sénat coutumier est en crise, mais au-delà, il craint un retour aux affrontements si l’identité kanak n’est pas mieux reconnue.
Le Sénat coutumier n’est pas sorti de ses querelles intestines. Hier, son président, Pascal Sihaze, a appelé cinq conseils coutumiers « à stopper leur stratégie de division. » Il s’agit des conseils d’Iaaï, de Nengone, suivis par ceux de Drehu, Païcii-Camukhi, Djubéa-Kapûme et Aije-Arho, qui ont en effet demandé la dissolution et le renouvellement de la deuxième institution de Nouvelle-Calédonie.
Mais au-delà, le Sénat coutumier dresse un constat sans concession des maux qui frappent la société kanak, dont il tient pour largement responsable l’ensemble de la classe politique. Jeunesse à la dérive, perte des repères, échec scolaire lié « à un système qui n’est pas fait pour nous », etc. Pour Pascal Sihaze et Cyprien Kawa, le Sénat coutumier, ou en tout cas les responsables coutumiers, doivent prendre une place beaucoup plus importante dans la vie publique. « Quand le colonisateur est arrivé, il n’a pas eu en face FLNKS. Il a eu en face de lui les chefs coutumiers. »
Pour le président du Sénat, peu importe que la Calédonie devienne indépendante ou reste française. « Ce qui compte, c’est que notre coutume qui a trois mille ans puisse continuer à vivre. Ce qui compte, c’est que le rééquilibrage se poursuive, alors qu’actuellement, on assiste plutôt à une aggravation des déséquilibres (…) Tous les ingrédients sont là pour que ça explose, comme en 1985, peut-être encore plus gravement. On a fait la promotion du destin commun sans son principal levier que constitue la promotion de l’identité kanak. »
Le Sénat coutumier n’est pas tendre non plus avec le dernier Comité des signataires. Son président n’y a pas été convié, contrairement aux années précédentes, en raison précisément de ses dissensions internes. Pascal Sihaze en attribue l’origine à des manquements de l’administration calédonienne.
Il s’interroge sur la fiabilité des chiffres électoraux fournis par l’Etat et entend saisir l’ONU pour demander lui aussi une évaluation des réalisations de l’accord de Nouméa.
 

·         Le camp Backès hostile à la « déclaration commune » voulue par Philippe Gomès
Les proches de Sonia Backés estiment que Philippe Gomés est allé très loin dans le nationalisme, samedi, à l’université.
Lors du colloque sur l’avenir institutionnel, Philippe Gomés a précisé le contenu de la « déclaration commune » qu’il souhaite voir adopter par les différents partis politiques avant le référendum. Son objectif déclaré : « Élargir le patrimoine commun à tout ce qui n’a pas été mis en œuvre dans l’accord de Nouméa. »
L’énumération de Philippe Gomés a provoqué une vive réaction des Républicains calédoniens qui y ont vu une quasi-proposition d’État associé. Il a évoqué le transfert des compétences de l’article 27 de la loi organique qui vise, notamment, le contrôle de légalité des actes administratifs des collectivités. Une compétence « régalienne », selon les Républicains calédoniens. Ces compétences régaliennes, Philippe Gomès souhaite que la Calédonie y soit associée. Avec des assesseurs coutumiers devant les juridictions pénales, l’implication des autorités calédoniennes dans les manœuvres militaires, dans les opérations d’ordre public : « Pourquoi ne pas imaginer un dispositif de codécision », a suggéré le député.
Autre idée qui a effrayé Sonia Backés et ses proches : la perspective de transformer l’IEOM en « petite Banque centrale adossée à la Banque de France. »
En réponse, Philippe Gomés a insisté sur le fait qu’une nation n’était pas un État. « L’Écosse est une nation, le Québec est une nation. Ce ne sont pas des États, tout comme la Calédonie. En revanche, leur peuple ont la souveraineté de décider de leur sort et d’éventuellement choisir de se constituer en État. »
 
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Le Congrès valide la modification de la loi organique
Le congrès vient d’adopter, à l’unanimité moins deux voix (celles de Basile Citré, LKS, et de Sylvain Pabouty, DUS) un avis favorable au sujet de la modification de la loi organique.
Celle-ci doit permettre l’inscription sur la liste référendaire des personnes de statut coutumier qui ne sont pas inscrites sur la liste générale ainsi que des natifs résidant depuis au moins trois ans en Nouvelle-Calédonie. Ces inscriptions s’effectueront par des commissions administratives à partir du croisement des fichiers des organismes sociaux.
L’esprit de cette future modification de la loi organique de 1999 est de faire en sorte que toute la population « intéressée » par le vote au référendum puisse participer au scrutin avec des formalités réduites au minimum.


         Statuts coutumiers et natifs
À l’issue de la première phase d’établissement de la liste référendaire, il apparaît qu’au moins 7 000 personnes (les indépendantistes parlent d’un nombre supérieur) de statut coutumier et 4 000 personnes, nées en Calédonie, de statut de droit commun, ne figurent pas sur cette liste simplement parce qu’elles ne sont pas inscrites sur la liste générale.
L’article 1 de la loi organique modifiée instaurera une procédure exceptionnelle d’inscription d’office sur la liste générale de tous les citoyens français vivant en Calédonie sur la liste générale. Normalement, cette inscription doit relever d’un acte volontaire. C’est le premier rouage du mécanisme.
Ensuite, comme prévu dans la loi organique, les personnes de statut coutumier basculeront automatiquement sur la liste référendaire. Les autres y seront admis s’ils sont nés en Calédonie et identifiés comme y étant domiciliés depuis trois ans. Au total, ces nouveaux venus représenteront moins de 10 % de la liste référendaire.


         Bureaux décentralisés
C’est une mesure exceptionnelle qui va être mise en place uniquement pour ce scrutin. Des bureaux de vote seront installés à Nouméa pour permettre aux nombreux îliens vivants dans l’agglomération de voter sans retourner dans leur île, et sans en passer par les aléas d’une procuration. Sont concernées les personnes inscrites à Bélep, aux Loyauté et à l’île des Pins.

         Procurations
Les élus du Congrès ont également proposé dans leur avis d’encadrer plus strictement le régime de procurations pour ce scrutin exceptionnel. À la fois dans le nombre de procurations que peut porter un électeur, et dans les cas où cette procuration sera admise.

        Les trois listes :
 La Liste générale : On la retrouve dans toutes les circonscriptions françaises. Chaque citoyen français en âge de voter peut s’y inscrire dès lors qu’il réside en Calédonie. Cela lui permet de voter aux élections municipales, aux législatives et à l’élection présidentielle. Mais pas aux provinciales.
Les listes provinciales : La liste des provinciales a été créée avec l’accord de Nouméa. Pour y figurer, il faut être natif ou bien avoir justifié de dix ans de résidence en 1998.
La liste référendaire : On l’appelle aussi LESC (liste électorale spéciale pour la consultation). C’est celle qui permettra de voter au référendum. Pour y figurer, il faut justifier de critères différents de la précédente. Les non natifs doivent avoir pu participer au référendum de novembre 1998, ou bien être arrivés au plus tard en 1994. La liste référendaire compte 158 000 personnes dont 70 000 de statut coutumier, et 88 000 de droit commun. Avec la modification de la loi organique, le nombre de personnes de statut coutumier devrait passer à 77 000, voire plus, et celui de droit commun à environ 92 000.

 
·         Edouard Philippe en visite pour confirmer
 
Après avoir réussi l’examen de passage pour son premier Comité des signataires, le Premier ministre arrive, le 2 décembre, pour poursuivre le travail engagé. Edouard Philippe foulera donc le sol calédonien le 2 décembre prochain. Le Premier ministre effectuera sa première visite officielle un mois jour pour jour après un seizième Comité des signataires au cours duquel il s’est révélé aussi engagé que pugnace. Des débuts réussis, donc. Mais la Calédonie et le toboggan vers 2018 étant ce qu’ils sont, le chef du gouvernement n’a d’autre choix que de confirmer ces premiers pas prometteurs rapidement, en se confrontant cette fois à la réalité du terrain. Et les chantiers qui l’attendent sont nombreux.
Ragaillardis par le vote du Congrès en faveur de l’avant-projet de loi organique concernant les inscriptions d’office sur les listes électorales, le premier ministre et son entourage n’ont pu ignorer les déclarations véhémentes de Daniel Goa et Louis Kotra Uregei. Si, du côté de Matignon, on laisse volontiers aux forces politiques calédoniennes la gestion de ce débat, Edouard Philippe prévoit tout de même de faire un point particulier sur les listes électorales, à travers « une démarche médiatique » qui montre la volonté du Premier ministre de continuer à s’engager sur ce dossier.
De la même manière, les discussions s’annoncent intenses en ce qui concerne l’organisation de la campagne. Un point sera fait à ce sujet avec le groupe de travail spécifiquement mis en place lors du dernier Comité des signataires. La teneur de la question posée lors de la consultation sera également abordée, cette fois lors des échanges que le Premier ministre aura avec l’ensemble des formations politiques calédoniennes. Couplée à ces deux premiers points, la problématique des transferts de compétences ne sera pas écartée. Une question que les récentes déclarations de Philippe Gomès - qui souhaite notamment le transfert du contrôle de légalité à la Calédonie - et la bouderie du clan Backès qui s’en est suivie vont encore pimenter les échanges. Mais le temps presse : le Congrès a jusqu’au mois de mai pour décider de la date de la tenue du référendum. Or, pour se décider, les acteurs politiques calédoniens auront dû avancer sur l’ensemble de ces dossiers. Passée cette échéance, l’Etat prendra la main et « assumera son rôle et ses engagements » fait-on savoir dans l’entourage du chef du gouvernement. En attendant, sur ce sujet comme sur celui de l’impossible élection du président du gouvernement, l’exécutif entend « respecter les prérogatives calédoniennes » et s’en tenir à la répartition prévue par l’accord de Nouméa.

 
·         Trois milliards de dépenses en moins à la province Sud

 C’est l’estimation qui a été avancée lors du débat d’orientation budgétaire 2018. Les dépenses d’intervention et les subventions vont souffrir. L’an prochain, la province Sud va devoir réduire de 3,2 milliards de francs ses subventions et ses dépenses d’intervention directe. Les secteurs les plus touchés seront l’économie, l’emploi, la formation professionnelle, le secteur médico-social mais aussi le réseau routier. À l’intérieur de cette prévision en forte baisse, il y a aussi 2 milliards de transferts de charges vers la Nouvelle-Calédonie qui va récupérer des missions n’entrant pas dans les compétences propres des provinces. C’est la seule façon de maintenir les dépenses d’investissement qui viennent au soutien de l’économie.

        Bientôt les taxes comportementales
Philippe Michel, président de la province Sud, a donc annoncé la couleur. Des discussions ont été entreprises entre le gouvernement et les trois provinces pour mettre en place rapidement des taxes comportementales (prévues dans le plan Do Kamo) sur l’achat de produits néfastes pour la santé. En ligne de mire, le tabac, l’alcool et les boissons sucrées. « Ces taxes vont avoir un effet positif sur les comptes sociaux, et à terme sur les dépenses de santé », a-t-il souligné. La baisse des recettes en province Sud est continue depuis 2014. « Depuis trois ans, nous faisons des efforts considérables : le gel total des créations de poste, la rationalisation des aides médicales, des aides à l’accès à la propriété. Cela nous a permis pendant ces années de maintenir notre niveau de subventions et d’intervention. Mais ce n’est plus possible », a justifié Philippe Michel. D’autant que la collectivité se doit de reconstituer sa capacité d’emprunt. La délibération prenant acte du débat d’orientation budgétaire a été votée par l’ensemble des élus. Ce qui n’a pas empêché Grégoire Bernut de lancer quelques piques au nom des Républicains calédoniens. « Aujourd’hui, les acquis économiques et sociaux des Calédoniens sont clairement et explicitement remis en cause, et la baisse des dépenses risque d’ajouter de la récession à la récession. »
 
·         Black Friday : le message du directeur de la Camif

Le 24 novembre, c’est Black Friday ! Un de ces jours tout droit importé des États-Unis, syndrome d’une surconsommation absurde au vue des défis actuels. Des experts du World Economic Forum et récemment 15 000 scientifiques de 184 pays, dans une déclaration commune, sont formels : nous avons trois ans pour sauver la planète de
En 2017, un ménage français engloutit 34 tonnes de matières premières, 1 piscine olympique d’eau, 4 terrains de football de terres, et émet à lui seul 15 tonnes de CO2 ! Le 2 août dernier, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la planète est capable de régénérer en un an : c’est le jour du dépassement ! La folle journée du .
“Stop” à la surconsommation. Pour la journée du Black Friday, alors que la plupart des commerces battent des records de ventes, nous avons décidé de fermer le site et d’offrir une pause à la planète. Le site fermé, c’est l’occasion pour les collaborateurs de la Camif de donner du temps à des associations et mettre en lumière les alternatives : la Maison du Zéro Déchet à Paris, pour lutter contre le gaspillage, Emmaüs Défi, pour aider à la réinsertion et donner une deuxième vie aux meubles, dans une ressourcerie pour développer l’économie circulaire ; ENVIE à Angers, association d’insertion spécialisée dans la collecte, le traitement, la réparation et le recyclage d’appareils électroménager.
Sur les réseaux sociaux, les internautes sont encouragés à suivre et partager via le hashtag #OnDonneTout les alternatives à la surconsommation : Refuser le Black Friday, Réduire nos déchets, Donner, Réparer, Recycler. La Camif invite tous les autres distributeurs à s’engager à leur tour… en fermant pour le Black Friday. Chiche !”
Emery Jacquillat, président de Camif.fr


Notre commentaire : c’est exactement le contenu du dernier livre de régis Debray « Civilisations, comment nous sommes devenus américains « que nous vous encourageons à lire.

·         Castorama, Brico Dépôt : des centaines de postes menacés par une délocalisation en Pologne
        Environ 500 personnes chez Castorama, et une cinquantaine chez Brico Dépôt seraient concernées par cette délocalisation..

Les activités comptabilité et contrôle de gestion de ces deux enseignes de bricolage vont être regroupées en Pologne, dans la ville de Cracovie. Selon la CGT et FO, l’annonce a été faite mercredi dernier par la directrice du groupe britannique Kingfisher, Véronique Laury, dans une vidéo diffusée dans les sociétés du groupe.
Chez Castorama, 500 postes environ sont menacés, selon Force Ouvrière, dont “200 à 250” sont regroupés au siège de Templemars, dans le Nord, a affirmé son représentant Jean-Paul Gathier, auprès de l’AFP. Des suppressions de postes prévues “à horizon fin 2018”, avec une négociation sur un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) prévue “début 2018”, a-t-il précisé.


        Des salariés “priés de devenir low-cost”
Chez Brico Dépôt, “40 à 50 personnes devraient être impactées” selon Patrice Herrerias (FO). Le groupe britannique Kingfisher a annoncé en septembre un recul de 8,1% de son bénéfice net au premier semestre, à 295 millions de livres (332 millions d’euros), qu’il a mis sur le compte de problèmes d’approvisionnement de certains produits et sur des ventes toujours faibles en France.
Après l’annonce de la délocalisation, la CGT dénonce une “politique de dégraissement pour gagner du fric sur la réduction de la masse salariale pour donner plus et encore plus aux actionnaires”, tandis que FO fustige une restructuration “sacrifiant” les salariés “vus comme des coûts” et “priés de devenir low cost”. Selon FO, Castorama compte 13.000 salariés et 103 magasins et Brico Dépôt, son “petit frère low-cost”, 140 points de vente.


(Notre commentaire : F.O. et la C.G.T. feraient bien de dénoncer l’article 63 du T.F .U.E . responsable des délocalisations et par là même du chômage au lieu de continuellement dénoncer les mauvais patrons qui ne font qu’utiliser les possibilités mises à leur disposition, ce qu’à aussi oublier de dénoncer François Rufin dans son film « merci patron « ).
 
 
·         Le gouvernement Macron est prêt à TOUT pour imposer les 11 vaccins obligatoires à nos bébés.
 
La preuve : regardez vite cette vidéo hallucinante (elle dure quelques secondes). https://www.petition-vaccins.com/mobilisez-vous/video/
 
Il faut le voir pour le croire : La Ministre y est prise "la main dans le sac", en train de mentir effrontément, devant l'Assemblée nationale !

 
 
·         Le gouvernement sacrifie l’enseignement français à l’étranger
Suite à l’annulation de 33 millions d’euros de crédits par le gouvernement, l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger (AEFE) doit supprimer 180 postes, tout en augmentant les frais de scolarité. Le gouvernement sacrifie l’influence française à des visées court-termistes, sous pression des restrictions budgétaires exigées par l’UE.
Source : Les Echos (7 novembre)

 
·         Les subventions aux associations de consommation vont être diminuées de 40 %
Cette économie de 3.5 millions d’euros va impacter non seulement les études permettant la protection des consommateurs (obsolescence programmée, …) mais va aussi réduire les possibilités d’action de justice de groupe contre les entreprises, qui ne peuvent être menées que par des associations agréées.

Source : France Info (7 novembre)


·          Les pauvres toujours plus pauvres
C’est le constat que fait le Secours catholique dans son rapport annuel sur la pauvreté en France. Les femmes sont les premières touchées, et la pauvreté n’épargne pas les couples avec enfants. Et si l’on remettait en cause le dogme de la construction européenne qui nous entraîne par le fonds depuis 50 ans ?

Source : La Tribune (9 novembre)

 
·         Le Brexit aura lieu le 29 mars 2019 à 23h
Le Brexit se concrétise, malgré les tentatives de lobbies divers de le faire dérailler. La meilleure santé économique du pays n’attend pas cette date fatidique. Face à une situation de quasi-plein emploi (taux de chômage, « à son plus bas niveau depuis 1975) il devient par ailleurs plus difficile pour les employeurs de recruter, ce qui crée une tension à la hausse sur les salaires.
Source : Le Vif (7 novembre) et MSN (10 novembre)

 
·         « Jean-luc Mélenchon va peut-être finir par admettre l'ultra priorité de la sortie de l'UE « Etienne Chouard


·         « Notre sujet essentiel, c’est avant tout l’indépendance et la souveraineté nationale » François Asselineau

sur Polony Tv lors de l’entretien que Natacha Polony lui a consacré après l’université d’automne (à écouter sur polony.tv après s’y être abonné ce que l’on vous recommande)